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La peinture bio pour les ruches…
Pour l’extérieur de nos ruches, nous utilisons cette peinture bio, spécialement conçue pour peindre les ruches en bois et qui peut être complétée par d’autres teintes si nécessaire.
Cette peinture que nous préférons est 100 % écologique et disponible en 15 teintes différentes.
Elle est composée d’huiles végétales en émulsion dans l’eau (chanvre, ricin, tournesol), de charges minérales, de caséine, de colorants dans un liant végétal (huile de lin-standoline), d’épaississant à base d’éther de cellulose.
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Le CHANGEMENT CLIMATIQUE exige des ruches mieux isolées
Vous trouverez ici quelques informations préliminaires sur notre projet « La ruche Dadant, version palettes », qui a été assemblé à partir de lattes de palettes non traitées.
La chambre d’incubation se compose de deux caisses de 33 cm de haut qui sont ensuite empilées l’une sur l’autre et ne peuvent pas glisser grâce aux barres de guidage intégrées.Chaque caisse pèse environ 16 kg et peut donc être déplacée à la main sans autre aide au transport.On obtient ainsi une chambre d’incubation de 66 cm de haut et d’un volume d’environ 32 litres.Chaque caisse est construite à partir de barres de palettes existantes d’une largeur de 11 cm.
L’isolation par rapport au corps extérieur est de 85 mm et de 125 mm vers le trou d’envol. Comme isolation inférieure, un élément de chambre à couvain Dadant a été rempli de baguettes de palettes disposées en vrac.Afin d’obtenir une adaptation aussi universelle que possible des éléments Dadant, les dimensions extérieures correspondent à un corps de ruche Dadant classique avec 10 cadres. Il est donc possible, si nécessaire, d’installer un magasin à miel Dadant original. Afin de ne pas prélever trop de miel, nous prévoyons une version modifiée du magasin à miel avec 5 cadres ou une cheminée intérieure comme dans la chambre à couvain.
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Thomas D.Seeley sur l’apiculture naturelle
En 2017, nous avons eu l’occasion de rencontrer pour la première fois Thomas Seeley, apiculteur de renommée mondiale, au National Honey Show en Grande-Bretagne et de l’interviewer brièvement sur la ruche Warré, sans savoir ce qu’il allait déclencher en nous dans les années suivantes.
Inspirée par les magnifiques ruches en roseaux créées en toute discrétion par David Junker dans la forêt bavaroise en Allemagne, la tour d’abeilles Warré a été construite à notre ucher école, équipée de cercles en bois et d’une isolation en roseaux de 5 cm d’épaisseur.
Avec son sol fermé et sa boîte climatique sous le toit en rondelles d’arbres de la forêt et son trou d’envol rond, la BeeTower se rapproche à nouveau un peu plus du nid d’abeilles naturel que ne le font les variantes Warré commerciales proposées aujourd’hui.Lisez les derniers articles de presse sur la tour d’abeilles
Multimédia par © Jan Michael, l’équipe Rucher Ecole Villa le Bosquet
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Protection de la ruche contre la canicule
Presque toutes nos ruches sont désormais placées à l’ombre, soit sous des arbres, soit dans des endroits où le soleil ne tape pas toute la journée.
Cette ruche est certes isolée à l’intérieur par une épaisse couche de bois et de roseaux, mais le toit se transforme en poêle à frire, surtout lorsqu’il fait très chaud, comme aujourd’hui avec 42°, et transmet la chaleur vers le bas.Certes, cela ne cause pas de dégâts en raison de la bonne isolation au-dessus des alvéoles par un caisson climatique rempli de paille et d’argile.
Pour faire face à une telle chaleur en plein soleil, il serait préférable d’avoir des toits à chalet et surtout un dispositif qui atténue les rayons du soleil.Le toit à chalet comme celui de notre tour d’abeilles Dadant, construit pendant les jours calmes de l’hiver, l’arbuste qui fait de l’ombre est planté en automne. Un rapide coup d’œil sous le nid d’abeilles encore jeune et très mou montre que le climat intérieur est normal et qu’il n’y a pas de risque de rupture de nid. Les abeilles ne sont pas non plus stressées et n’ont pas besoin de refroidir le nid spécialement.. -
Un toit en tôle de cuivre
Notre longue Warré tour d’abeilles a été dotée d’un nouveau toit en tôle de cuivre. Les toits en tôle de acier dans les magasins d’apiculture sont certes beaucoup moins chers, mais d’un point de vue biodynamique, ils sont magnétiques et pourraient avoir une influence négative sur la capacité d’orientation des abeilles. Toutes les ruches que j’ai construites moi-même n’ont pas de pièces métalliques, pas de clous, pas de vis et pas de câblage.…
Sous le toit, l’isolation est assurée par un bloc de bois massif provenant d’un tronc d’arbre ou, dans d’autres versions, par un coussin Warré classique en copeaux de bois.
C’est certes un peu plus compliqué de les fabriquer, mais ce luxe personnel me plaît davantage et peut-être aussi aux abeilles qui doivent si souvent se contenter de beaucoup de choses.